Passage du Temps

KIMSOOJA © Adagp, Paris. Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
Courtesy of the artist and Metro Pictures, New York. Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
Courtesy the artist and Hauser & Wirth © Cindy Sherman
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
© Dara Birnbaum Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
© Dara Birnbaum Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
© Dara Birnbaum Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
© Studio lost but found / Adagp, Paris. Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
Pierre HUYGHE © Adagp, Paris. Courtesy Marian Goodman Gallery, New York / Paris Photo : Marc Domage
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
Michel FRANÇOIS © Adagp, Paris. Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008

Photo : Maxime Dufour / 
© Adagp, Paris, 2020

Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
© Hiroshi Sugimoto Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008

© ADAGP Paris / Photo : Maxime Dufour

Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
© Andres Serrano Photo : Maxime Dufour
Vue d'exposition, Passage du temps, Lille, 16 octobre 2007 - 1 janvier 2008
Tri Postal

Sous le commissariat de
Caroline Bourgeois

L’enjeu était de « faire exposition », donc de faire sens à partir d’une collection. C’est ainsi que, de Dan Flavin à Adel Abdessemed, en passant par Gilbert & George, Philippe Parreno ou encore Hiroshi Sugimoto, l’exposition proposait un parcours chronologique et thématique, questionnant la notion d’éblouissement, d’avant-garde artistique, ou d’identité, des années 1970 à aujourd’hui. Sans prétention exhaustive, l’exposition offrait un point de vue sur la création contemporaine, marquée par une période de remise en question de la notion d’œuvre d’art et de l’identité artistique. Respectant l’architecture industrielle du lieu et ses contraintes, le parcours proposait des histoires que chacun pouvait interpréter en fonction de ses sentiments, de ses ressentis. 

En partant de l’époque minimale et conceptuelle, la notion d’objet et les matériaux utilisés par les artistes ont été réinventés. La pensée devenait l’objet de l’art, que ce soit la pensée de l’auteur comme celle du visiteur par l’expérience de l’œuvre. Le visiteur n’est plus un simple spectateur, mais devient l’acteur de l’œuvre. 

Les œuvres de l'exposition Passage du Temps